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qui sait ce que voit l'autruche dans le sable

Avec Isabelle Martinez | Écriture et mise en scène Isabelle Martinez | Scénographie et costumes Charles Rios | Lumière Valérie Becq | Son Matthieu Bastin

Photographies © Olivier Padre

Tout l’univers de Beckett en version marionnettes.

Un petit monde absurde et poétique caché sous le sable. Un désert.

Un personnage au chapeau melon apparaît, en quête de solitude et de silence.

Ce désert est l’endroit rêvé ! Mais, petit à petit, un univers enfoui se révèle.

 

50 min | Tout public, accessible à partir de 6 ans. 

« Sous le sable, des “ petites vies ” singulières qui tentent d’exister. Elles ont des corps absurdes, des obsessions bizarres et un courage à toute épreuve. Toutes issues de l’œuvre de Beckett, ces petites personnes vont de l’avant avec humour et poésie. Adaptant l’univers beckettien à la marionnette, Isabelle Martinez fait vivre sous nos yeux un monde de « freaks » magnifiques. Une création étonnante, entre burlesque et surréalisme qui fascinera aussi bien les petits que les grands. »

Jean Cabaret pour LE SÉCHOIR

« N’importe quel imbécile peut fermer les yeux mais qui sait ce que voit l’autruche dans le sable »

Murphy, 1951.

« Et je me rappelle encore le jour où, couché à plat ventre, histoire de me reposer, au mépris du règlement, soudain je m’écriai, en me frappant le front, Tiens, mais il y a la reptation, je n’y pensais plus. »

Molloy, 1951.

Samuel Beckett

dans la presse

« Spectacle d’une poésie absolue. »

RÉUNION PREMIÈRE

« Un véritable petit bijou, l’émotion se mêle au rire. Nous sommes déstabilisés, attendris, jamais indifférents… Coup de chapeau à la performance que nous offre Isabelle Martinez. »

Guy Martin, 7LAMESLAMER

« Appelle le spectateur à la curiosité, à l’exigence… à la construction du sens, lui offrant une formidable porte sur son imaginaire, sa propre subjectivité et sa libre interprétation face à ce qui est suggéré. »

Marie Welsch, LE JOURNAL DE L'ÎLE

« Il y a là quelque chose d’hypnotique.  La mise en scène prend le contrepied de nos habitudes de spectateurs, (…) La construction en abyme qui sous-tend la mise en scène est remarquable…
 Nous avons eu la chance non pas d’assister à ce spectacle, mais comme d’y être conviés, dans un partage de poésie, d’esthétique (magnifiques éclairages). Et la très grande richesse de l’ensemble, c’est qu’il offre une lecture, une possibilité de réception plurielle. Spectacle pour tous : chacun d’y chercher et d’y trouver quelque chose au fond de soi qui l’ajoute aux marionnettes de ce pays inventé de l’enfouissement : enterrement des désirs, inhumation de sentiments trahis ; ou bien, tout bonnement, une sorte de jeu de cache-cache avec les temps de la vie…
Isabelle Martinez et ses partenaires de création mériteraient une standing ovation des mots si cela était possible. Une sorte de féérie à double sens continue de nous envahir longtemps après que les portes du théâtre se sont refermées. L’Art est grand quand il nous mène à l’Essentiel. Alors, très simplement, profondément sincère et parce que vous avez chamboulé nos âmes spectatrices, ce mot : MERCI ! 
»
LA TRIBUNE DES TRÉTEAUX

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